La cellule exécutive

Karen DAIFUKU

Directrice exécutive

Karen Daifuku est directrice exécutive de l’I2EN depuis janvier 2022. Elle a occupé le poste de directrice adjointe de l’Institut entre avril 2019 et septembre 2021, et directrice par intérim entre septembre et décembre 2021.

Elle commence sa carrière aux États-Unis, d’abord au sein de la National League of Cities – un groupement d’intérêt public et lobby auprès du Congrès des États-Unis, puis de la George Washington University, ensuite auprès de l’Ambassade de France à Washington, et enfin au premier bureau d’EDF à l’étranger à Washington.

En 1994, elle rejoint le siège du groupe EDF en tant que responsable communication internationale dans diverses directions. Elle pose ensuite ses valises à Bruxelles où elle exerce la fonction de directrice des relations internationales et de la communication du Forum atomique européen (FORATOM aujourd’hui appelé Nucleareurope) de 1999 à 2003.

De 2004 à 2009, Karen Daifuku intègre l’Agence de de l’OCDE pour l’énergie nucléaire (AEN) en tant que chef de cabinet, du secrétariat central, des relations extérieures et des relations publiques.
En 2009, elle revient chez EDF et rejoint la Direction grands projets en tant que Conseillère senior de la compagnie d’électricité italienne Enel dans le cadre de la joint-venture entre EDF et Enel pour la construction de quatre EPR en Italie. Ses activités se concentrent alors sur les aspects de communication et d’acceptation du public.

De 2011 à 2019, Karen Daifuku, au sein de la Direction du développement de la Division ingénierie et projets nouveau nucléaire (DIPNN) du groupe EDF, est chargée des relations avec les organismes internationaux (AIEA, OCDE/AEN, …). Karen Daifuku a été membre du groupe de travail technique de l’AIEA sur les infrastructures pour les nouveaux programmes nucléaires de 2014 à 2019. Elle contribue aussi à la stratégie de développement de nouveaux marchés et services pour les pays primo-accédants à l’énergie nucléaire. Depuis 2016, ses activités se concentrent sur le développement d’offres de formation – principalement pour les pays de l’ASEAN, le conseil en communication nucléaire et l’acceptation du public.

Elle a inventé un “serious game” : The Nuclear Public Acceptance Game. Ce jeu pédagogique permet de comprendre les grandes étapes d’un projet nouveau nucléaire et l’importance du dialogue avec les parties prenantes.