Université de Toulouse III Paul Sabatier

Université de Toulouse III Paul Sabatier

L’université Toulouse III – Paul Sabatier trouve ses origines au 13ème siècle et nait officiellement en 1969 de la fusion des facultés de médecine, de pharmacie et des sciences. La diversité de ses laboratoires et la qualité de ses formations en sciences, santé, sport, technologie et ingénierie assurent depuis plus de 50 ans son rayonnement scientifique et la placent parmi les premières universités mondiales. Elle est reconnue parmi les 300 meilleurs établissements pour ses performances scientifiques par le classement international de l’université nationale de Taïwan.

 

LA FORMATION NUCLÉAIRE A L’Université de Toulouse III

Forte de son histoire, et consciente que le rapprochement entre l’enseignement supérieur et les entreprises est une des clés de la réindustrialisation du pays, l’UPS a créé en 2014, en partenariat avec le groupe EDF, le master PEnTE afin de répondre aux enjeux et perspectives énergétiques actuels. Les connaissances et compétences acquises dans cette formation sont principalement orientées vers les métiers de la filière nucléaire (conception, exploitation, sûreté nucléaire, maintenance industrielle, déconstruction, matériaux et radioprotections, etc.). La forte implication d’ingénieurs de la centrale nucléaire de Golfech et de la direction des projets déconstruction-déchets (DP2D) d’EDF dans la formation ainsi que la mise en situation des étudiants sur le simulateur de REP à Golfech font de PEnTE un parcours pertinent pour se former à l’ingénierie nucléaire.

 

Recherche

De l’atome aux exoplanètes, en passant par les données de masse, l’oncologie, les écosystèmes ou encore les sciences humaines et sociales, la recherche à l’université Toulouse III – Paul Sabatier couvre un large spectre de thèmes scientifiques à travers 70 structures de recherche dont 41 unités mixtes de recherche avec ses partenaires du site toulousain et nationaux.

Chiffres clés

68
structures de recherche

 

25 M d’€
budget 2019

 

423

thèses soutenues (en 2017)

 

1 775

personnels d’enseignement ou de recherche